German theologian H. Hoping: « The Synodal Way Changes the Architecture of the Doctrine of Knowledge »
Translated from Die Tagespost, March 30, 2022
Divers théologiens interprètent la doctrine de l’Église et la corrigent si nécessaire, note Helmut Hoping, professeur de dogmatique et d’études liturgiques à l’Université de Fribourg, dans le prochain supplément synodal Welt&Kirche du Tagespost. Ainsi, le théologien Christoph Böttigheimer voit dans les signes des temps une « source d’auto-communication divine » ; le théologien Christoph J. Amor les appelle « véritables lieux de révélation ». Hildegund Keul, qui sympathise avec la Voie synodale, a même qualifié la récente initiative #OutInChurch de « révélation sur le plan théologique. » Hoping résume : « La Voie synodale, soutenue par des théologiens individuels, change l’architectonique de l’épistémologie théologique en mesurant l’Écriture et la Tradition aux signes des temps comme de nouveaux lieux de révélation. »
La constitution pastorale Gaudium et Spes dit bien que « tout ce qui est vraiment humain » doit « trouver son écho » dans le cœur des disciples du Christ. Toutefois, dans les signes des temps, il faut « discerner précisément ce qui, en eux, est signe véritable de la présence ou du conseil de Dieu. » Hoping souligne : « Les voix et les différents « langages de notre temps » ne peuvent pas être simplement assimilés à la voix de Dieu et à sa volonté. » Après tout, l’herméneutique de la foi signifierait sinon de toujours conformer la foi à l’époque particulière dans laquelle elle doit être proclamée.
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