Plus de contrôle : Les évêques français inventent la carte d’identité pour les prêtres
Les évêques français ont inventé une carte d’identité pour les clercs, avec un code QR scannable, lié à une base de données nationale pour prouver qu’un prêtre est en règle et peut célébrer l’eucharistie et entendre les confessions (Eglise.Catholique.fr, 5 mai).
Le nouveau document est un « celebret » amélioré et n’est valable qu’un an. Les évêques comparent cette carte à la « carte de presse des journalistes » ou à la « carte d’identité des avocats ».
La carte utilise un système de feux tricolores : vert pour un casier vierge, jaune pour des restrictions et rouge si le prêtre est suspendu ou pire.
L’évêque de Troyes, Alexandre Joly, a déclaré le 10 mai que la couleur jaune ne faisait pas nécessairement référence à des abus, comme dans le cas d’un prêtre nouvellement ordonné qui n’aurait pas encore reçu la faculté d’entendre les confessions, un sacrement qui a pratiquement disparu depuis Vatican II.
Un évêque belge : « François accepte les pseudo-bénédictions homosexuelles »
L’homosexualiste Johan Bonny, évêque Novus Ordo d’Anvers, a parlé à deux reprises avec François des pseudo-bénédictions homosexuelles, a-t-il déclaré à Katholisch.de (17 mai).
« Différentes opinions » [= confusion] ont cours au Vatican à ce sujet, a-t-il dit, car Rome est aussi « l’unité dans la diversité » [= chacun « croit » ce qu’il veut].
Les huit évêques flamands sont d’accord sur ces pseudo-bénédictions. Bonny ne veut pas « désobéir » à François sur ce point [comme s’il s’agissait d’une question de discipline].
Bonny trouve que les prétendues tensions entre l’Allemagne et Rome sont « inutiles ». Il rejette la faute sur Rome [= François] : « À Rome, on devrait mieux écouter quelque part et ne pas être si critique. Cela n’aide personne ».
Bonny qualifie les Romains [= François] d’hypocrites de facto, mais met cela sur le compte de différences de mentalité.
« À Rome [= François], par exemple, on dit : vous pouvez le faire, mais pas en parler. Chez nous, par contre, ce qu’on fait et ce qu’on dit doit coïncider le plus possible ». Le pharisien Bonny se considère comme meilleur que les autres.
Le rosaire arrête un blasphème dans une église
Le père Dominique le Quernec de l’église Saint Cornely, dans le diocèse de Vannes en France, a autorisé le 13 mai un événement blasphématoire intitulé « Profaner le sacré » dans son église (Riposte-Catholique.fr).
Dans l’après-midi, des gradins, des tribunes, des haut-parleurs et des éclairages ont été installés dans la Maison de Dieu. Mais dans la soirée, de jeunes catholiques de l’institut Civitas sont venus prier le rosaire à l’intérieur et à l’extérieur de l’église, bloquant l’entrée en présence des organisateurs, du maire, de la police et de journalistes rémunérés.
Certains haineux en colère ont crié et demandé à la police d’utiliser des gaz lacrymogènes et de vérifier l’identité des personnes qui priaient le rosaire.
Le père Quernec, principal responsable du tumulte et de la profanation, a accusé les catholiques de « tumulte » et de « profanation » nocturnes.
Les catholiques expliquent qu’une église est un lieu sacré et que ce genre d’événement ne devrait pas avoir lieu du tout, et encore moins dans une église. Vers 23h15, le maire a décidé d’annuler l’événement.
Allemagne : Une femme à la tête d’un séminaire
L’évêque de Spire, Mgr Wiesemann, a nommé Tatjana Blumenstein, 53 ans, professeur de religion, à la tête de son séminaire vide. Elle le dirige « conjointement » avec le chanoine Franz Vogelgesang, 61 ans, dans le cadre d’une « double direction » dans laquelle les conflits sont inévitables. Vogelgesang est responsable des prêtres et des diacres, Blumenstein des assistants pastoraux, qui n’ont rien à faire dans un séminaire. En 2022, le vicaire général de Spire a fait défection au profit des vieux catholiques.
François reçoit Zelenski malgré l’insigne nazi
Larry Johnson, vétéran de la CIA, a qualifié la rencontre de François avec Vladimir Zelenski de « farce grotesque » et de « mauvaise image » pour François.
Sur son blog Sonar21.com, M. Johnson souligne que François a rencontré un homme impliqué dans une « vaste attaque contre les prêtres et les évêques de la communauté orthodoxe d’Ukraine, leurs églises et leurs monastères ».
Le « meilleur dans tout ça » pour Johnson est que Zelenski portait un pull avec l’emblème de l’organisation nazie « Organisation des nationalistes ukrainiens« .
Pour Johnson, le « silence de François sur la persécution religieuse en cours en Ukraine est une autre tache noire sur son héritage sordide ».
Interview de Pagliarani : la FSSPX participe à l’escroquerie de François
Le père Davide Pagliarani, supérieur général de la FSSPX, a publié le 5 mai une interview peu éclairée dans laquelle il parle des erreurs de François sans comprendre le problème de fond.
Il estime que François veut une Église « sans dogme » alors que François est un prêcheur aveugle et brutal des dogmes de ceux qui détiennent le pouvoir.
Selon Pagliarani, dans l’Église de François « il n’y a plus besoin d’une autorité pour enseigner quoi que ce soit », alors que François impose son « autorité d’enseignement » avec une violence inouïe.
Il adhère à l’idéologie de « l’amour et du service » de François, alors que François a transformé le Vatican en une dictature qui se moque éperdument de « l’amour et du service ».
Pagliarani pense que le synodalisme de François transforme les bergers en brebis, tandis que « les brebis deviennent les bergers ». Mais ce n’est qu’une façade bon marché. Tout est dicté d’en haut, et des « brebis » sélectionnées sont utilisées pour faire écho à l’idéologie de François.
L’erreur de Pagliarani est de croire que le modernisme de l’époque de Pie X (+1914) est toujours d’actualité, alors que François représente un nihilisme intellectuel qui se cache superficiellement derrière une façade de bonimenteur.
François a balayé toute théologie. Le sens et la signification n’ont plus de sens et de signification. Tout se réduit à un jeu de pouvoir vide de sens (« Je commande, tu obéis »).